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gif 3 (13/15) - L'expo d'Aups - Jean-Pierre COUSIN
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Commentaires

COUSIN Brigitte
28/09/14
France
Thorigné-sur-Dué

Coucou,
J'aimerais que tu retires les soeurs de Saint-Vincent de Paul de ton texte, elles n'étaient pas des tortionnaires...
Brigitte

Jean-Pierre COUSIN
29/09/14
Jean-Pierre Cousin
France
Villecroze

Salut Brigitte,
Salut ma soeur,
Ce site n'a d'autre ambition que de présenter mon travail.
J'aurais préféré que tu commentes mes photos plutôt que te poser en défenderesse de la religion et de tous ceux qui l'accompagnent.
NON, NON, NON et NON, je n'enlèverai pas les sœurs de st Vincent de Paul de ma liste.
A l'époque, tu as eu la chance de tomber dans un petit établissement dans la bonne ville bourgeoise et bien-pensante de Versailles. j'avais conscience que celui-ci ne ressemblait en rien à ceux que je fréquentais. Il était l'exception qui confirme le règle.
Pour étayer mes dires, il me revient en mémoire l'établissement d'Élancourt (78) où nous n'étions autorisés à rentrer dans notre famille qu'un dimanche par mois. Dans leur infinie bonté, tes "bonnes" sœurs de St Vincent nous autorisaient une à deux heures de parloir les autres dimanches.
Je n'y suis pas resté longtemps car notre mère m'en a fait sortir au bout de 2 ou 3 mois. Je me rappelle mon départ de ce lieu infâme. Il faisait nuit et la tempête soufflait un vent qui contrariait notre marche... J'avais froid mais j'étais heureux.
Autre chose? La pension de St Germain en Laye... lorsque qu'une envie pressante nous poussait à avoir besoin de papier, il nous fallait aller dans l'entrée de la cuisine. Sur un meuble était posée une pile de papier (glacé!) découpé dans des magazines. Nous n'avions droit qu'à deux feuilles. Le personnel de la cuisine y veillait. Chaque fois que ces pauvres hères, surexploités par l'institution, entendaient la porte s'ouvrir, ils venaient vérifier. Sans doute une manière de se venger de ce qu'ils y vivaient... Mais ils se trompaient de cible.
Quoi qu'il en soit, refuser à ce point l'accès à un acte d'hygiène la plus élémentaire à des gosses, moi, j'appelle ça de l'humiliation et de l'indignité.
Tu comprendras donc que je continuerai, comme par le passé, à haïr les ecclésiastiques de tous s exes et à leur chier sur la gueule jusqu'à mon dernier souffle.
ITE MISSA EST

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