Jean était le meneur des SDF, la tête pensante de leur mouvement de revendication pour obtenir un semblant de vie meilleure. Au bout de quelques mois, la municipalité a trouvé une solution pour le sortir de la rue. C'était tactiquement une bonne affaire... Décapité, le mouvement s'est étiolé jusqu'à disparaître. Tous ses compagnons d'infortune, eux, sont restés dans la rue, trainant leur galère comme par le passé.